Vertaling van "than rahim jaffer " (Engels → Frans) :

Mr. Rahim Jaffer (Edmonton—Strathcona, Canadian Alliance): Mr. Speaker, Canadian taxpayers are paying for more than two dozen public servants to go on cruises.
M. Rahim Jaffer (Edmonton—Strathcona, Alliance canadienne): Monsieur le Président, les contribuables canadiens paient pour des croisières de plus de deux douzaines de fonctionnaires.

Mr. Speaker, with the culture of secrecy that allowed corruption to flourish under the Liberals, no one was more sanctimonious about their ethical lapses than Rahim Jaffer and the Conservative coalition, but now that they are in power, it is still all about who one knows in the PMO.
Monsieur le Président, lorsque les libéraux étaient au pouvoir et permettaient à la corruption de s'enraciner en imposant leur culture du secret, personne ne les pourfendait plus sévèrement pour leur manque d'éthique que Rahim Jaffer et la coalition conservatrice. Or, maintenant qu'ils sont au pouvoir, tout ce qui compte, c'est qui a ses entrées au CPM.

Mr. Rahim Jaffer (Edmonton—Strathcona, CPC): Mr. Speaker, the sponsorship racket is still going on, stronger than ever.
M. Rahim Jaffer (Edmonton—Strathcona, PCC): Monsieur le Président, le racket des commandites continue de plus belle.

Far fewer than we produce today (1445) Mr. Rahim Jaffer (Edmonton—Strathcona, CPC): Mr. Speaker, first the Prime Minister sells his flag to Barbados and now the public works minister has sold the Canadian flag to China.
Beaucoup moins que nous n'en produisons à l'heure actuelle (1445) M. Rahim Jaffer (Edmonton—Strathcona, PCC): Monsieur le Président, le premier ministre a d'abord pris le pavillon de La Barbade, et c'est maintenant le ministre des Travaux publics qui brade le drapeau canadien au profit de la Chine.

Mr. Rahim Jaffer (Edmonton Strathcona, Canadian Alliance): Mr. Speaker, perhaps the Prime Minister is more concerned with the fight in his own cabinet than the fight against terrorism.
M. Rahim Jaffer (Edmonton Strathcona, Alliance canadienne): Monsieur le Président, le premier ministre s'inquiète peut-être davantage de la dissension au sein de son Cabinet que de la lutte contre le terrorisme.