They represent, of course, only a couple of steps that Europe can take in addressing the enormous problem that corruption presents to society, but let us – the Commission, Parliament and the Member States – make them a priority, so that we no longer merely point the finger at the developing countries, but also own up to our own wrongdoing.
Bien sûr, il s’agit seulement de quelques mesures que l’Europe peut adopter en s’attaquant à l’immense problème que la corruption constitue pour la société. La Commission, le Parlement et les États membres doivent leur accorder la priorité, afin que nous n’accusions plus simplement les pays en développement, mais que nous reconnaissions également nos fautes.