Beginning with the increasing debt rescheduling activities in the Paris Club (Toronto terms with relief from 33% and/or 50%), it was clear that what was involved was the solvency of the poorest countries and not simply their liquidity.
Avec la multiplication des mesures de rééchelonnement au sein du Club de Paris (.. conditions de Toronto et allégement de 33 ou 50%), il est clairement apparu que ce qui était en cause, c'était la solvabilité des pays les plus pauvres et non plus uniquement leurs liquidités.