I can tell you that when you are sitting in the airport in Kimmirut, a community of about 500, and the one nurse in the nursing station—now called the community health centre, which is supposed to have a staff of three nurses—is sitting at the airport literally praying that the flight coming in is going to bring another nurse because she has been working 24/7 for way too long, you also realize that nearly every health encounter in Nunavut requires an interpreter because the providers are almost entirely from the south and don't speak Inuktituk.
Je peux vous dire que, lorsque vous vous trouvez dans l'aéroport de Kimmirut, une collectivité de 500 personnes environ, et que la seule infirmière de l'infirmerie—que l'on appelle maintenant le centre de santé communautaire et où travaillent en principe trois infirmières—est assise en train de prier que le prochain vol qui arrive amène une autre infirmière parce qu'elle travaille 24 heures par jour tous les jours depuis trop longtemps, vous
constatez également que pratiquement tous les services de santé fournis au Nunavut exigent la présence d'un interprète parce que presque tous les fournisseurs de soins viennent du Sud et ne parlent p
...[+++]as l'inuktituk.