The only comment I would make is that I believe some of the witnesses, including the B.C. privacy commissioner, were dealing with the particular issue in the context of what an organization would be able to disclose about either its clients or employees in a prospective purchase in the mergers and acquisition situation.
La seule chose que je dirais, c'est que je pense que certains des témoins, y compris le commissaire à la vie privée de la Colombie-Britannique, envisageaient la question dans le contexte de ce qu'une organisation peut révéler à propos de ses clients ou de ses employés dans la perspective d'un achat, d'une fusion ou d'une acquisition.