But in reality, if we assume all the investors have business interests in other lands—and I know that's reality, that they have to go overseas more frequently and not as tourists, that they don't have to go only once or twice—that poses some concerns and questions about flexibility.
Mais en réalité, si nous partons du principe que tous les investisseurs ont des intérêts d'affaires dans d'autres pays—et je sais que c'est la réalité, ils doivent se rendre à l'étranger plus souvent, et pas en touristes, ils ne peuvent se contenter d'y aller une ou deux fois—on a là un problème de manque de souplesse.