The facts ought to prompt even those whose economic thinking is of
the most neoliberal kind to accept that, in the
absence of demand, cutting taxes does nothing to create new jobs, but that, on the contrary, either the consequent rationalisation wipes them out or the increase in r
evenue is not reinvested, or alternatively, it finds its
way, via taxation, into ...[+++] the state’s budget.
La réalité devrait inciter même ceux dont la pensée économique est la plus néolibérale qui soit à accepter que, sans demande, réduire les taxes ne contribue aucunement à créer de nouveaux emplois, et que, au contraire, soit la rationalisation qui s’ensuit les annule, soit l’augmentation des revenus n’est pas réinvestie ou finit dans les poches de l’État, par le biais des taxes.