In his March 18 address, Putin charged that the Euromaidan movement was controlled by nationalists, neo-Nazis, Russophobes, and anti-Semites, who resorted to terror, murder, and riots to seize power.
Dans son discours du 18 mars, Poutine a soutenu que le mouvement Euromaïdan étant contrôlé par des nationalistes, des néo-nazis, de russophobes et des antisémites, qui avaient recours à la terreur, aux meurtres et aux émeutes pour s'emparer du pouvoir.