In my view, the moral and ideological weight of the issue of drugs - it was so taboo to talk about this in France that it was like a question of good versus evil - was such that when a harm reduction policy was being implemented, the Department of Health, rightly or wrongly, decided that if it wanted to do something, it would have to do so without anybody knowing.
Selon mon interprétation, un tel poids idéologique et moral - ce sujet était tellement tabou dans la société française, qu'il s'agissait d'une question de bien ou du mal - pesait sur la question des drogues, que lorsqu'on a commencé à mettre en place la politique de la réduction des risques, le ministère de la Santé, à tort ou à raison, s'est dit: «Si on veut faire quelque chose, il faut le faire sans que personne ne le sache».