At a time when our Mediterranean borders – one thinks of Lampedusa and the Canary Islands – cannot hold back the floods of economic migrants, Europe is still unwilling to admit that we cannot – and it was a Socialist Prime Minister who put this so aptly – bear the misery of all the world on our shoulders.
À l’heure où nos frontières méditerranéennes, et je pense ici à Lampedusa et aux Îles Canaries, sont incapables de retenir le flux d’immigrants économiques, l’Europe refuse toujours d’admettre que l’on ne peut pas, et ce sont les paroles d’un Premier ministre socialiste, porter toute la misère du monde sur ses épaules.