It is our view that these provisions diminish the ability of individuals who have or have had a mental health condition to exercise their rights, further stigmatize those individuals, perpetuate prejudices such as the idea that mental illness goes hand in hand with violence, and restrict access to sound, transparent and objective remedies that respect a person's rights and freedoms in a democratic state.
Nous estimons que ces articles diminuent l'exercice des droits des personnes vivant ou ayant vécu un problème de santé mentale, renforcent la stigmatisation à leur égard, entretiennent des préjugés tels que celui selon lequel la santé mentale va de pair avec la violence, restreignent l'accès à des recours crédibles, transparents, impartiaux et respectueux des droits et libertés de la personne et d'un état démocratique.