I am here, however, because PollutionWatch, as you know, is very concerned that the momentum from the categorization exercise needs to continue with action on not necessarily all of those 4,000 substances immediately, but on the “worst of the worst”.
Tout de même, je suis là parce que PollutionWatch, comme vous le savez, se soucie beaucoup du maintien de l'exercice de catégorisation, pour que les autorités étudient non pas forcément l'ensemble des 4 000 substances tout de suite, mais plutôt les pires parmi les pires.