My hesitation about broadening the scope of debt cancellation to, for instance, middle-income countries, is based on the consideration that if we do that we will take money from the least-developed and poorest countries and give it to countries that are relatively much better off.
Mon hésitation sur le fait d’étendre l’annulation de la dette aux pays à revenu moyen, par exemple, se fonde sur la réflexion suivante: si nous appliquons cette mesure, nous prendrons de l’argent aux pays les moins avancés et aux pays les plus pauvres pour le donner à des pays qui sont dans une situation financière relativement meilleure.