The other point I would make is that we've always felt in Canada that while the French language is more protected than not because there's a natural barrier there, in our SAGIT group of people from across the country, from British Columbia to Newfoundland, we developed more of an understanding of the issues for the people whose first language is the French language.
L'autre précision que je voulais apporter, c'est que nous avons toujours eu l'impression au Canada que même si la langue française est le plus souvent protégée en raison de l'existence d'une barrière naturelle, le groupe de personnes qui forment le GCFCE et qui proviennent de partout au pays, de la Colombie-Britannique à Terre-Neuve, est parvenu à mieux comprendre les problèmes qui se posent aux personnes de langue maternelle française.