Moreover, human rights defenders are having their free speech “criminalized”, as in the case of Bangladeshi journalist Shoaib Choudhury, who faces trumped up criminal charges carrying a death penalty for exercising this fundamental freedom.
Par surcroît, les défenseurs des droits de la personne sont traités comme des criminels lorsqu'ils s'expriment librement. C'est notamment le cas de Shoaib Choudhury, journaliste bangladais, qui est sous le coup d'accusations frauduleuses au pénal passibles de la peine de mort, parce qu'il a exercé cette liberté fondamentale.