Does not the Commission feel that such a scenario, if it ever became reality, would constitute a complete U-turn in the policy pursued hitherto by the European Union against persons indicted by the International Criminal Tribunal for the former Yugoslavia?
La Commission n'estimetelle pas qu'un tel scénario, s'il devait se matérialiser, constituerait un revirement total de la politique poursuivie jusqu'ici par l'Union européenne à l'égard des personnes inculpées par le Tribunal international pour les crimes commis dans l'exYougoslavie ?