Now that the banks have soaked up billions of euros in public aid and the public debts of the countries with the greatest difficulties have rocketed, the pressure to reduce debts and deficits has returned with no thought for employment, social inclusion or the universal rights to public education and health care, housing, or living wages and pensions.
Maintenant que les banques ont siphonné des milliards d’euros d’aides publiques et que la dette publique des pays ayant les plus grandes difficultés est montée en flèche, les pressions visant à réduire la dette et les déficits se sont montrées impitoyables pour l’emploi, l’inclusion sociale ou le droit universel à l’éducation et aux soins de santé, au logement, ou à un salaire et une pension de retraite.