If Canada is a signatory to a convention on transnational crime, should it take a position consistent with that convention under which police officers, judges and so on may prosecute whoever must be prosecuted, and not attack the victims, that is to say prostituted persons, who, in most cases, are entrapped by police because they're visible?
Or, si le Canada est signataire d'une convention contre la criminalité transnationale, doit-il prendre des positions en accord avec cela qui permettent aux policiers, aux juges, etc., de poursuivre quiconque doit être poursuivi, et non pas tomber sur le dos des victimes, c'est-à-dire les personnes prostituées, qui, elles, subissent la plupart du temps, parce qu'elles sont visibles, les contraintes policières?