But it does go beyond that. It is a larger point than that because it is in fact a reflection of the ability for companies, Canadian citizens, corporate or natural citizens, to sue within domestic courts, and it's a reflection of what we already have with the country with which we do most of our investment business and with 24 or 25 countries with which we are doing an increasing volume of our investment business.
En réalité, c'est une question même plus vaste, parce qu'elle est liée à la possibilité, pour les entreprises et les citoyens canadiens, c'est-à-dire des personnes physiques ou morales, d'intenter des poursuites devant les tribunaux nationaux, et à l'arrangement que nous avons conclu avec le pays où nous faisons la majeure partie de nos investissements et les 24 ou 25 autres pays où nos investissements sont de plus en plus importants.