How can the minister deny that such complaints exist, when the assistant deputy minister received specific, serious and well documented complaints regarding several individual violations and when the President of the Canada Employment and Immigration Union confirmed that bribes had indeed been offered?
Comment la ministre peut-elle nier l'existence de telles plaintes, alors que le sous-ministre adjoint a reçu des plaintes sérieuses, précises et documentées sur plusieurs cas individuels d'infraction et que l'existence des pots-de-vin a été confirmée par le président du Syndicat de l'emploi et de l'immigration du Canada?