Even just one year after the ban took effect, and after a massive government public education campaign, Fuller found that " not only were Swedish parents resorting to pushing, grabbing, and shoving more than U.S. parents, but they were also beating their children twice as often" .
Même une année après la mise en œuvre de cette interdiction, et après une imposante campagne publique de sensibilisation sur l'éduction des enfants menée par le gouvernement, M. Fuller a établi que « non seulement les parents suédois avaient davantage le réflexe de pousser, d'empoigner et de bousculer leurs enfants que les parents américains, mais ils les battaient deux fois plus souvent qu'eux».