Similarly, we fail to understand why the aviation industry, which needs huge investment for start-up, re-equipping, training, and expansion remains one of the few industries in Canada still restricted by the 25% foreign ownership rule.
De même, nous comprenons mal la raison pour laquelle l'industrie de l'aviation, qui nécessite des investissements considérables pour la mise sur pied, l'approvisionnement en équipement, la formation et l'expansion demeure l'un des rares secteurs au Canada encore assujetti à la règle des 25 p. 100 en matière de contrôle étranger.