The eight bullets that assassinated Yolanda Cerón, head of social care in Tumaco, were also foretold and once and for all destroyed the already precarious working conditions of human rights activists on the ground.
Les huit balles qui ont assassiné Yolanda Cerón, directrice de la pastorale sociale de Tumaco, étaient annoncées et elles ont définitivement détruit les conditions déjà précaires du travail des militants des droits de l'homme sur place.