It is another story as to whether our citizens will have any sympathy at all for a renewed vote of confidence of this kind on the part of the democratically-elected monitoring institution that is Parliament, in view of the grave errors committed by the previous Commission which are, of course, a millstone around the new Commission’s neck.
Quant à savoir si les citoyens européens sont prêts, au regard des fautes qui ont été commises par l’ancienne Commission et qui ne facilitent bien entendu pas le travail de l’actuelle Commission, à comprendre un tel geste de la part de l’institution de contrôle qui les représente directement, à savoir le Parlement, c’est une autre histoire.