I don't know how it's possible that in 2003, we are still seeing the same kinds of provisions, where the First Nations require authorization to receive funds and to manage their own affairs, when it seemed perfectly clear, based on the reports of the Special Joint Committee and the Erasmus-Dussault Commission, that we had gone way beyond that.
Je ne sais pas comment il se fait qu'en 2003, on se retrouve avec des dispositions comme celle-là, où les premières nations ont besoin d'une autorisation pour des fonds et pour la gestion de leurs propres affaires, alors qu'il semblait clair, à partir des rapports du comité mixte spécial et de la Commission Erasmus-Dussault, qu'on était rendus beaucoup plus loin que ça.