Some think that harm reduction policies rely too heavily on a medical model, simply softening the negative effects of an otherwise prohibitionist regime.[17] Harm reduction has been described as a “transition doctrine, contradictory and ambiguous, with the ambiguity enabling unlimited adaption”.
Pour certains même, une politique de réduction des méfaits aurait le double effet pervers de privilégier le rôle du médecin et de pouvoir coexister avec une approche prohibitionniste dont elle ne fait alors qu’atténuer les effets pervers.[18] Il s’agirait alors « d’une doctrine de transition, contradictoire et ambiguë, dont l’ambiguïté permet toutes les adaptations».