Mais quand on fait des profits comme on en fait actuellement et dans le domaine pétrolier, et dans le domaine de la téléphonie, et dans le domaine bancaire, pour ne nommer que ceux-là, et qu'on se permet des licenciements de l'importance que nous avons vue, quand on pense à Bell Canada, sans doute avec des
motifs corporatifs tout à fait justifiables et rationnels, qui se permet des projets de licenciement de 10 000 employés à travers le Québec, il faut questionner ce genre d'opération au même titre que le genre de comportement des banques actuellement qui, avec des profits de
...[+++] cinq milliards de dollars, se permettent simultanément de congédier massivement du personnel.