En conséquence, nos amis américains ou autres, qui essaient d’éviter l’inévitable par des m
oyens juridiques ou toutes sortes d’autres manœuvres au sein de l’OACI, l’Organisation de l’aviation civile internationale, feraient mieux de formuler des propositions constructives,
de manière à ce que nous parvenions à conclure un accord international qui instaurerait d’une part une concurrence loyale entre tous les acteurs, chose que nous désirons tous, et, d’
...[+++]autre part, qui inscrirait les activités aériennes dans une perspective plus durable.