Pater Leman stelde voor om dit probleem te omzeilen door « uit dat artikel van de grondwet dat het persdelict regelt, één aspect weg te halen, zodat racistische geschriften voortaan voor de correctionele rechtbanken kunnen komen.
Pour contourner le problème, le Père Leman lança alors l'idée que si l'on ne retirait de l'article de la Constitution réglant le délit de presse qu'un aspect seulement afin que les écrits racistes puissent désormais être renvoyés en correctionnelle, on ne mettrait pas en péril la liberté de la presse.