Pour cette évaluation, il est fait usage de sources publiques (listes publiées des
commerçants et des entreprises condamnées pour commerce illégale d’armes : rapports des panels d’experts de l’ONU ; compte-rendu des ONG, du monde académique et des médias) et de sources non publiques (information provenant des service nationaux de police et de sécurité ; échange d’information entre les p
ays membres de l’UE dans le contexte du groupe du travail du Conseil, le COARM ; échanges bilatéraux et multilatéraux sur les trafics illégaux d’arm
...[+++]es et le détournement d’armes)