La morbidité et la mortalité frappant les pat
ients en attente de transplantation peuvent justifier de prendre soigneusement en considération des donneurs potentiels qui, dans d'au
tres conditions, ne seraient pas retenus comme donneurs et qui sont dits donneurs "marginaux" (c'est-à-dire, par exemple, autoriser les greffes de patients séropositifs à patients séropositifs). Si la population de donneurs est ainsi élargie, le personnel soignant sera confronté à une probabilité accrue de rejet de la greffe ou à un déclin graduel des fonctio
...[+++]ns de l'organe greffé.