Le législateur a entendu permettre au juge de lui accorder la faveur de pouvoir reprendre se
s activités sur une base assainie et ceci non
seulement dans son intérêt, mais aussi dans celui de ses créanciers ou de certains d'entre eux qui peuvent avoir intérêt à ce que leur débiteur reprenne se
s activités sur une telle base, ainsi que la Cour l'a jugé dans ses arrêts n 132/2000, 113/2002, 11/2003, 39/2003, 68/2004, 76/2004, 78/2004, 114/2004, 6/2005, 79/2005, 81/2005, 12/200
...[+++]6, 49/2006, 50/2006 et 67/2006.