De Raad sprak daarbij de overtuiging uit dat het seksisme dat het huidige taalgebruik in de meeste Europese landen kenmerkt — waarbij het mannelijke prevaleert op het vrouwelijke — de totstandkoming van gelijkheid tussen man en vrouw verhindert omdat het aldus het bestaan van vrouwen, als de helft van de wereldbevolking, negeert.
Le Conseil s'est en outre dit convaincu que le sexisme dont est empreint le langage en usage dans la plupart des États membres du Conseil de l'Europe — qui fait prévaloir le masculin sur le féminin — constitue une entrave au processus d'instauration de l'égalité entre les femmes et les hommes du fait qu'il occulte l'existence des femmes qui sont la moitié de l'humanité et qu'il nie l'égalité de la femme et de l'homme.