À cet égard, cependant, et même après avoir écout
é le discours de la commissaire Ferrero-Waldner - bie
n que j’apprécie qu’elle ait insisté sur le besoin et
la nécessité que le Liban retrouve son indépendance et ne dépende plus de la Syrie -, nous de
vrions critiquer le fait qu’elle n’ait pas abordé clairement ces questions qui so
...[+++]nt pourtant fondamentales.