Het OCAD bleek immers slechts te beschikken over één chauffeur die tijdens de terreurdreiging onafgebroken af- en aanreed met de papieren versies van de evaluaties tussen de betrokken diensten.
Il s'est avéré que l'OCAM ne disposait que d'un chauffeur qui, pendant la menace terroriste, n'a cessé de faire des trajets aller-retour entre les services concerné avec les versions papier des évaluations.