Je voudrais enfin redire notre souci, avec Tobias Billström, d’engager avec la Libye, d’une part, et avec la Turquie d’autre part, un véritable dialogue qui puisse permettre
d’aller au fond des choses, de pouvoir obtenir, en effet, une coopération pour la surveill
ance des frontières contre la migration irrégulière, mais aussi de voir comment, dans ces pays de la rive sud, on peut, avec le concours du Haut-Commissariat pour les réfugiés, essayer d’engager des procédures q
ui permettent à des demande ...[+++]urs d’asile authentiques de ne pas avoir à recourir à des passeurs ou à des trafiquants pour atteindre les côtes européennes et de voir leur demande d’asile identifiée dans ces pays.