Nous devons donc mettre en place un plan, et moi je suis de ceux qui pensaient qu’il était possible d’envisager – c’était déjà il y a dix ans – une organisation commune de crise, de façon à ce qu’on puisse écouler tout le bois qui est aujourd’hu
i mis sur le marché bien involontairement, sans nuire au prix, c’est-à-dire en bloquant les approvisionnements d’autres régions européennes, en finançant le transpo
rt et en faisant en sorte que ces parcelles puissent être replantées très vite, sinon, je pense qu’elles feront l’objet de spéculat
...[+++]ions, voire d’abandon.