Les déclarations du ministre des affaires étrangères al-Zahar, largement diff
usées par la presse internationale, faisant entrevoir une ouverture par rapport à la reconnaissance d’Israël et, dès lors, à la politique des «deux États». Elles ne sauraient être considérées comme particulièrement encourageantes ou rassurantes à la lumière de l’incroyable déclaration que ce même personnage avait faite quelques jours auparavant, et dans laquelle il affirmait rêver de pendre chez lui une belle carte gé
...[+++]ographique où ne figurerait pas l’État d’Israël.