De Commissie onderschrijft de uitleg die volgt uit de bestaande nationale rechtspraak[58], namelijk dat de richtlijnen ook directe discriminatie op grond van een verkeerde perceptie of een foute veronderstelling verbieden.
Comme le porte à croire la jurisprudence nationale existante[58], la Commission estime que les directives interdisent également les situations où une personne subit une discrimination directe fondée sur l'impression ou l'hypothèse erronées qu'elle possède les caractéristiques protégées par les directives - par exemple, si un(e) candidat(e) à l'embauche n’est pas sélectionné(e) parce que l’employeur pense à tort qu’il (elle) est d’une origine ethnique spécifique, ou homosexuel(le).