Constatant en effet que l'administration fiscale ne s'entendait pas sur le point de savoir si le principe d'attraction avait été ou non supprimé par l'arrêté royal du 20 décembre 1996 qui avait modifié l'article 32 du Code
des impôts sur les revenus (ci-après C. I. R.), le législateur est intervenu, par la loi
incriminée, afin de lever tout doute sur sa volonté de maintenir le principe d'attraction et ce, dans le but d'éviter que « certains saisissent cette opportunité (doute quant à la subsistance du principe d'attraction) pour optim
...[+++]aliser leurs rémunérations en tant que dirigeant d'entreprise, aussi bien sur le plan fiscal que parafiscal.