Mais pour faire face de façon optimale à une (sur)consommation du tabac, il est nécessaire, d'abord, de disposer d'études scientifiques précises sur les différentes formes de dépendance vis-à-vis du tabac et sur leurs conséquences (tant pour les fumeurs que pour les non-fumeurs, c'est-à-dire pour la collectivité), et ensuite, sur base de ces études, d'élaborer des politiques d'information susceptibles d'induire des changements de comportement, ainsi que, si possible, des polit
iques de prévention dans le cadre d'accords d
e coopération avec les communautés ...[+++].