Le deuxième point que je voudrais
soulever est que la Commission (qui a dit qu’elle déciderait quelles industries énergivores obtiendraient des exonérations gratuites, au moins au début, en l’absence d’un accord international, puis
qu’elle déciderait à la mi-2010 qu
i en bénéficierait, pour prendre encore un an avant d’apporter des réponses au problème de la fuite du carbone) a provoqué une énorme
protestation de la ...[+++]part des industries susceptible d’être classées énergivores, qui réclament plus de sécurité juridique, plus rapidement.