Si les Irlandais ont bien compris la situation, c’est qu’ils ont été, me semble-t-il,
heureux que toute l’Europe se range aux côtés de l’Irlande quand la tempête financière manquait d’emporter l’Irlande, et bien heureux que le président de la Commission trouve une solution - ce n’était pas
si facile - lorsque dans un premier jet, le gouvernement irlandais avait été jusqu’à garantir toutes les banques, tous les produits des banques, omettant, l’espace d’un instant, que les banques étrangères installées en Irlande devaient être traitées
...[+++] de la même façon que les banques irlandaises, elles aussi installées en Irlande.