Uit onderzoek naar d
e verdeling van die beurzen onder de diverse instellingen van het land blijkt enerzijds dat er een flagrant onevenwicht bestaat in het voordeel van de Nederlandstalige universiteiten, die 62% van de beurzen krijgen tegenover slecht 34% voor de Franstalige universiteiten terwijl de rest naar nationale instellingen gaat en anderzijds, dat er een wanverhouding bestaat tussen de Franstalige universitaire instelli
ngen onderling : zo krijgt de " Université catholique de Louvain " ongeveer 52%, de " Université libre de
...[+++] Bruxelles " 19,5% en de " Université de Liège " slechts een povere 10% van de beurzen.
L'examen de la répartition de ces bourses entre les différentes institutions du pays laisse apparaître, d'une part, un déséquilibre flagrant à l'avantage des universités néerlandophones, puisqu'elles bénéficient de 62% des bourses accordées alors que les universités franco-phones ne reçoivent que 34% de celles-ci, le reliquat allant à des institutions nationales, et, d'autre part, une disproportion parmi les institutions universitaires francophones : l'Université catholique de Louvain obtenant près de 52%, l'Université libre de Bruxelles 19,5% tandis que l'Université de Liège devant se contenter d'à peine 10% de ces bourses.