Cette lenteur s'explique par divers éléments : l'absence d'une législation adaptée à ce type de crise, des problèmes de bonne gouvern
ance et de lourdeur administrative, surtout à l'échelon provincial et local, l'interdiction décidée par le gouvernement de reconstruire des habitations à moins de cent mètres de la mer, ce qui entraîne automatiquement la nécessité, pour les autorités publiques, de désigner d'autres terrains, de les affecter, de les équiper, puis d'en décider l'attribution aux familles victimes du
tsunami.Toutes ces démarches prennent évidemment ...[+++] du temps.