Dans cet esprit, O’Brien et al (2008) démontrent lors d’
une enquête sur des campus américains que la consommation de boissons énergisantes, en même temps que d’alcool, accentue la consommation d’alcool avec des effets pervers tels que: augmentation de la quantité d’alcool consommée lors d’événements « arrosés » (5,8 contre 4,5 boissons par session), augmentation significative des périodes de consommation importante d’alcool (6,4 jours contre 3,4 en moyenne sur une période d’un mois) et doublement des épisodes d’imbibition alcoolique hebdomadaire (1,4 jours/semaine contre 0,7)
...[+++].