Par contre, les études in vivo menées avec
d’autres plantes à anthracénosides (séné) (essai d’aberration chromosomique sur les hépat
ocytes de rat, spot test chez la souris, UDS (synthèse non programmée de l’ADN) in vivo/in vitro) n’ont pas mis d’effets génétiques en évidence. On n’a pas relevé d’effets mutagéniques de l’aloe-émodine dans les études menées in vivo (test de micronoyaux sur les cellules de moelle osseuse de souris NMRI, essai d’aberration chromosomique sur moelle osseuse de rats Wistar, spot test chez la souris [DBA/2J x
...[+++] NMRI]).