Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «était le père » (Français → Néerlandais) :
J'ai voulu savoir qui était mon père, qui était le père qu'elle avait connu.
Ik wilde weten wie mijn vader was, wie de vader was die zij had gekend.
Un jour, nous étions en train de marcher, en France. Nous étions aux Houches. Nous étions à la montagne, en 1976. Nous étions à la montagne, et Feynman m'a dit : « Leonardo, » La raison pour laquelle il m'appelait Leonardo est que nous étions en Europe et il voulait mettre en pratique son Français. Il m'a dit : « Leonardo, étais-tu plus proche de ta mère ou de ton père quand tu étais petit ? » Je lui ai dit : « Eh bien, mon véritable héros était mon père.
Op wandel in Frankrijk waren we in La Zouche. In de bergen, in 1976. Feynman zei: Leonardo. Hij noemde me Leonardo omdat we in Europa waren en hij zijn Frans wou oefenen. Hij zei: Leonardo, stond je als kind dichter bij je moeder of je vader? Ik zei: Wel, mijn echte held was mijn vader.
Ceci s'appelle La Robe. C'est un poème plus long, À cette époque, cette époque qui existe seulement pour moi comme le souvenir le plus fuyant maintenant, quand souvent le premier son que tu
entendais le matin était un orage de chants d’oiseaux, puis le doux clopinement des sabots du cheval qui tirait le chariot de lait dans la rue, et le dernier son la nuit en toute pr
obabilité était ton père qui s’arrêtait dans sa voiture, après avoir travaillé tard encore, toujours tard, et descendant pesamment au sous-sol, à la chaudière, pour vide
...[+++]r les cendres et calfeutrer les courants avant de remonter l’escalier et tomber dans le lit; dans ces jours lointains, les femmes, ma mère, les mères de mes amis, nos voisins, toutes les femmes que je connaissais, portaient, souvent presque toute la journée, ce qu’on appelait des robes de chambre, bon marché, à motifs, comme de la pulpe, apparemment et exprès sans forme, des robes légères en coton qu’on portait par dessus de sa chemise nuit, et quand on devait chercher un enfant, étendre du linge sur la ligne, ou descendre à l’épicerie au coin, par dessous un manteau, l’ourlet tordu de la chemise de nuit, toujours plat et jauni, pendant dessous.
Nu volgt Het huisschort . Dit is een langer gedicht. In lang vervlogen tijden die voor mij nu nog slechts als vluchtige herinneringen herleven, tijden waarin je 's ocht
ends vaak werd gewekt door een aanzwellend vogelkoor gevolgd door het gedempte getrappel van het paard van de melkboer onder aan de straat, tijden waarin je vrijwel iedere avond als laatste je vader in zijn auto hoorde voorrijden, na een werkdag die altijd te lang was, eerst klossend naar de kelder, naar de ketel, om as uit te scheppen en de klep te verzetten, en vervolgens naar boven, waar hij zijn bed in rolde. In die lang vervlogen tijden droegen vrouwen, mijn moeder, d
...[+++]e moeders van mijn vrienden, buurvrouwen, alle vrouwen die ik kende, een groot deel van de dag het zogenaamde huisschort, een goedkope, bedrukte lap, schijnbaar met opzet vormeloze lichtkatoenen hoezen, die je over je nachthemd droeg, en als je naar een kind op zoek ging, was aan de lijn hing, of even iets haalde bij de winkel op de hoek, onder een jas. De verwrongen zoom van je nachthemd stak er dan slap en vergeeld onder uit.Finalement un jour, je me suis réveillé et j'ai cru avoir eu une attaque cérébrale, car j'étais étendu sur le lit, immobile, je regardais le téléphone, et j'ai pensé : « Il y a quelque chose qui cloche, je devrais appeler quelqu'un. » mais je n'arrivais pas à tendre le bras pour attraper le téléphone et composer un numéro. Puis finalement, au bout de quatre heures passées allongé à le fixer, le téléphone a sonné, j'ai réussi à le décrocher d'une manière o
u d'une autre, et c'était mon père, et j'ai dit : « J'ai de graves problèmes. Il faut qu'on fasse quelque chose. » Le lendemain, j'ai commencé à
...[+++] prendre des médicaments et une thérapie.
Op een dag werd ik wakker en dacht dat ik misschien een beroerte had. Ik lag als verlamd in bed, keek naar de telefoon en dacht: Er is iets mis. Ik moet om hulp bellen. Maar ik kon mijn arm niet uitsteken, de telefoon pakken en bellen. Na vier uur liggen staren, ging de telefoon. Op de een of andere manier lukte ik erin hem op te nemen. Het was mijn vader, en ik zei: Ik zit met een serieus probleem. We moeten iets doen. De volgende dag begon ik met medicatie en therapie.
Et une des personnes qui ont travaillé dessus, au début, était mon père, Freeman -- ici au milieu.
Eén van de mensen die er in het begin aan werkten, was mijn vader, Freeman -- daar in het midden.
Ils ont tous parlé de leur propre tradition, ils ont eu un mot à propos de la puissance curative de la solidarité, un avec l'autre. Aujourd'hui la compassion est devenue une sorte de seconde nature chez moi je suis devenu pasteur. Maintenant, comme pasteur, j'ai un travail. Je dois prêcher des trucs, mais je dois aussi donner l'exemple. Or qui était le Père Divine à Harlem disait aux gens, Certaines personnes prêchent le Gospel.
En ze spraken allemaal vanuit hun eigen geloofstraditie over de helende werking van solidariteit. Goed, ik heb een soort gevoel voor compassie ontwikkeld als tweede natuur, want ik ben predikant geworden. Als predikant had ik een taak. Ik moest erover preken, maar ik moest het ook zelf dóen. Of zoals Father Divine in Harlem altijd tegen de mensen zei: Sommige mensen verkondigen het Evangelie.
Il s'appelait Harry Kelvin, c'était le père de ma mère.
Harry Kelvin was zijn naam, de vader van mijn moeder.
Sa mère est morte en lui donnant naissance, et personne n'avait la moindre idée de qui était son père. Pendant deux semaines, elle est devenue ma compagne, elle dormait avec moi. Je lui ai acheté des vêtements d'occasion et lui a acheté sa première poupée. La nuit avant mon départ, elle est venue dans la chambre et a dit: «Leymah, ne me laisse pas ici. Je veux venir avec toi. Je souhaite aller à l'école. Très pauvre, pas d'argent, vivant avec mes parents, J'ai de nouveau répondu: «Non» Deux mois plus tard, ces deux villages sont tombés dans une autre guerre.
Haar moeder stierf toen ze haar baarde, en niemand wist wie haar vader was. Twee weken lang was ze mijn gezelschap, sliep bij me. Ik kocht tweedehands kleren en een pop voor haar. De avond voordat ik vertrok, kwam ze de kamer binnen en zei: Leymah, laat me hier niet achter. Ik wil met je meegaan. Ik wil naar school gaan. Ik was straatarm, had geen geld, woonde bij mijn ouders. Ik zei weer : Nee. Twee maanden later bevonden beide dorpen zich in een nieuwe oorlog.
Il m'a dit que la seule personne que je devais convaincre était le père Samaan, le chef de la communauté.
Hij vertelde me dat ik alleen maar Vader Samaan moest zien over te halen: de leider van de gemeenschap.
C'était mon père au Vietnam.
Dit is mijn vader in Vietnam.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
était le père ->
Date index: 2021-08-31