Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «étaient tous assis là même ma mère et mon père » (Français → Néerlandais) :
(rires) (applaudissements) Si vous aviez lâché une bombe dans cette pièce, vous auriez détruit tout l'argent de Pennsylvanie parce qu'ils étaient tous assis là même ma mère et mon père, qui ont vécu assez longtemps pour voir leur fils construire ce bâtiment.
(Gelach) (Applaus) Als je daar een bom had laten vallen, had je al het geld van Pennsylvania uitgewist, want het zat allemaal daar, met inbegrip van mijn moeder en vader, die lang genoeg leefden om hun kind dat gebouw te zien bouwen.
Nous avons grandi en jouant de la musique - Maman est du Cap-Breton, comme par
hasard. Maman et la mère de Natalie se connaissaient. Nous avons grandi en jouant, et nous avions l'habitude de danser ensemble, oui, c'est vrai. (Rires) Nous avons grandi en jouant tout un tas de... Nous jouions de mémoire, et je pense que c'est important dans notre cas, parce que nous n'étions pas vraiment exposés à beaucoup de différents styles de musique. Nous avons appris à jou
er des instruments, mais nous devions trouver ça en nou
...[+++]s-mêmes, parce que nous ne regardions pas la télévision, nous n'écoutions pas beaucoup la radio. Nous allions à l'église, et à l'école, parfois, travaillions à la ferme, et jouions de la musique, nous avons donc pu, je pense, à un âge très critique, développer notre propre style, notre propre personnalité ; ma mère joue, mon père joue, et le style qui est venu de la vallée d'Ottawa, en Ontario, nous l'appelons le style franco-Canadien, mais il trouve son origine dans les camps de bûcherons. Il y a des années, des centaines d'hommes allaient passer l'hiver dans les camps dans le Nord de l'Ontario et au Québec, et ils étaient tous de cultures différentes, et les irlandais, les français, les écossais, les allemand, ils se rencontraient, et bien sûr, la nuit, ils jouaient aux cartes, et dansaient et jouaient du violon, et au fil de nombreuses années, le style de violon de la vallée d'Ottawa a évolué, et la danse de la vallée d'Ottawa a évolue, alors j'ai en quelque sorte commencé avec ce style, et je me suis vite mis à faire mon propre truc, et puis j'ai rencontré Natalie, et j'ai été exposé au style génial du Cap-Breton.
We groeiden op met muziek spelen -- ma komt toevallig uit Cape Breton. Ma en de moeder van Natalie kenden elkaar. We groeiden op met muziek spelen, en we dansten samen, ja, natuurlijk. (Gelach) We groeiden op en we speelden op het gehoor. Ik denk dat dat belangrijk vo
or ons was omdat we niet blootgesteld werden aan veel verschillende muziekstijlen. We leerden de instru
menten te bespelen, maar het moest van binnen komen omdat we geen televisie keken en niet veel naar de radio luisterden. We gin
gen naar de kerk en ...[+++]soms naar school, we werkten op de boerderij en speelden muziek. Zo waren we in staat om op een erg kritische leeftijd onze eigen stijl te ontwikkelen, ons eigen ik. Mijn moeder speelt, mijn vader speelt, in de stijl die zijn oorsprong heeft in de Ottawavallei in Ontario. Wij noemen het de Frans-Canadese stijl maar het kwam oorspronkelijk uit de houthakkerskampen. Jaren geleden gingen honderden mannen gedurende de winter naar kampen in het noorden van Ontario en in Quebec. Ze kwamen uit verschillende culturen. De Ieren, de Fransen, de Schotten, de Duitsers, ze kwamen allemaal samen, en 's avonds gingen ze kaarten, deden ze aan stepdansen en speelden ze viool. Na velen jaren is de Ottawa Valley-vioolmuziek ontstaan, en ontstond het Ottawa Valley-stepdansen. Dat is hoe ik ongeveer begonnen ben met die stijl. Al snel begon ik mijn eigen ding te doen. Toen ontmoette ik Natalie, en ik kwam in contact met de geweldige Cape Breton vioolmuziek.Beaucoup de gens qui ont une paralysie cérébrale ne p
euvent pas marcher, mais mes parents n'acceptaient pas qu'on leur dise « je ne peux pas ». Le
mantra de mon père était, « Tu peux le faire, oui, tu peux
pouvoir. » (Rires) Donc, si mes trois sœurs aînées passaient
la serpillière, je passais la serpillière. Si ...[+++]mes trois sœurs aînées allaient à l'école publique, mes parents portaient plainte contre le système scolaire pour obtenir que j'y aille aussi, et si nous n'avions pas tous des A, on se prenait tous les coups de savate de ma mère. (Rires) Mon père m'a appris à marcher quand j'avais 5 ans en plaçant mes talons sur ses pieds et en marchant, simplement. Une autre tactique qu'il utilisait était d'agiter un billet de un dollar devant moi, et je devais l'attraper.
Veel mensen met hersenver
lamming lopen niet, maar mijn ouders geloofden niet in kan niet'.
Mijn vaders mantra was: Je kan het, ja, je kan kunnen. (Gelach) Dus als
mijn drie oudere zussen dweilden, dweilde ik. Als
mijn drie oudere zussen naar de openbare school gingen, klaagden
mijn ouders het schoolsysteem aan tot ik ook ging. En als we niet allemaal tienen haalden, voelden we allemaal
mijn moeders slof. (Gelach)
Mijn va
der leerde me lopen ...[+++]toen ik vijf was door mijn hielen op zijn voeten te zetten en gewoon te lopen. Bij een van zijn andere tactieken hield hij een dollarbiljet voor me en liet mij het achtervolgen.C'était un grand jour pour ma mère. Ma mère et mon père avaient économisé pendant des années pour pouvoir acheter cette machine. Et le jour de la première utilisation, même mamie avait été invitée pour voir la machine. et mamie était encore plus excitée.
Het was een grote dag voor mijn moeder. Mijn moeder en vader hadden jaren gespaard om die machine te kunnen kopen. Op de dag van het eerste gebruik werd zelfs oma uitgenodigd om de machine te bekijken. Oma vond het nóg spannender.
La modernité était là. Et il se trouve que dans les mêmes périodes, ma mère meurt, mon père se questionne sur le futur, et dit, finalement, la règle du jeu n'est plus entre nos mains . Donc il me confie à un couple de français, un ingénieur et une institutrice migrés dans le pays pour ce travail des mines.
Moderne tijden braken aan. Omstreeks dezelfde tijd stierf mijn moeder. Mijn vader vroeg zich af wat de toekomst zou brengen, en besloot: `De regels van het spel zijn niet langer in onze handen.` Hij vertrouwde mij toe aan de zorg van een Frans echtpaar - een ingenieur en onderwijzeres - die naar dit land gemigreerd waren voor het werk in de mijnen.
J'ai senti un enterrement dans ma tête Et les amis du défunt allaient et venaient, Continuaient à marcher, jusqu'à ce qu'il me semble Que ma raison s'en all
ait. Et quand ils s'étaient tous assis Un office comme un tambour battait, battait, jusqu'à ce qu'il me semblait que mon esprit devenait paralysé. Et puis, je les ai entendus soulever une boîte et traverser mon âme en grinça
nt, avec encore ces mêmes bottes de plomb, puis tout s'est mis à sonner, comme si les cieux n'étaient qu'une cloche et l'existence n'était
...[+++]qu'une oreille et moi, et le silence, une espèce d'étrange race anéantie, solitaire, ici. D'un coup, une planche de la raison se brisa, et je tombai, sans arrêt et heurtai un monde, à chaque chute et puis finis alors d'être consciente. » Nous comprenons la dépression à travers les métaphores.
Ik voeld
e een begrafenis in mijn hersenen, rouwenden liepen heen en weer, liepen, liepen tot ik voelde dat ze bij zinnen kwamen. Toen ze allemaal zaten, ging een dienst slaan als een trom, slaan, slaan, tot ik voelde dat mijn geest was afgestompt. D
an hoorde ik ze een doos optillen en over mijn ziel kraken met alweer dezelfde loden laarzen. De ruimte begon te tollen alsof de hemelen een klok waren, en het zijn een oor en ik en de stilte een vreemde race, verwoest, eenzaam, hier. Net toen brak een plank in de rede, en viel ik neer en n
...[+++]eer en neer en ramde bij elke bots een wereld. Toen hield het weten op. We kennen depressie door metaforen.En fait, ce n'est pas forcément comme ça. Quand j'avais 11 ans je suis allé à mon premier cours de méditation. Et croyez-moi, tous les clichés étaient réunis : les gens assis sur le sol les jambes croisées, l'encens, la tisane, les végétariens...tout le truc quoi ! Ma mère y allait, et j'étais curieux, alors je l'ai accompagnée.
Het hoeft niet zo te zijn. Ik was 11 toen ik mijn eerste meditatieles had. Geloof me vrij, ik had alle mogelijke vooroordelen: met gekruiste benen zitten op de vloer, de wierook, kruidenthee, vegetariërs, de hele handel. Maar mijn moeder ging en ik was nieuwsgierig, dus ik ging mee.
Une en particulier, une photo de femmes de tous âges, de la grand-mère à la petite fille, réunies autour d'un bébé, a frappé une corde sensible, parce qu'une photo semblable de ma famille, ma grand-mère, ma mère, moi-même, et ma fille qui venait de naître, est accrochée sur mon mur.
Eén foto trof mij bijzonder: vrouwen van verschillende leeftijden, van oma tot klein meisje, rondom een baby. Eenzelfde soort foto, van mijn oma en moeder, mezelf met mijn pasgeboren dochter, hangt bij ons aan de muur.
Dans la photo originelle, je suis porté par mon père, Bageye, mais lorsque mes parents se séparèrent, ma mère l'excisa de tous les aspects de notre vie.
Op de originele foto word ik opgetild door 'Bageye', mijn vader. Toen mijn ouders uit elkaar gingen, schrapte mijn moeder hem uit alle aspecten van ons leven.
Lorsque j'avais quatre ans, j'ai un souvenir vivace d'avoir trouvé deux cicatrices punctiformes sur ma cheville et d'avoir demandé à m
on père ce qu'elles étaient. Et il m'a dit que j'en avais deux autr
es pareilles sur ma tête, mais je ne pouvais pas les voir à cause de mes cheveux. Et il a expliqué que quand je suis né, je suis né prématuré, que je suis sorti beaucoup trop
tôt, je n’ ...[+++]étais pas tout à fait prêt ; j'ai été très, très malade. Et quand le médecin a jeté un coup d'œil à ce gamin jaune avec les dents noires, il a regardé ma mère droit dans les yeux et lui dit: « Il ne va pas de vivre. » Et j'étais à l'hôpital pendant des mois.
Toen ik 4 jaar oud was, had ik een levendige herinnering aan het vinden van 2 littekens van speldenprikken op mijn enkel. Ik vroeg aan mijn vader wat ze waren. Hij zei dat ze overeenkwamen met het
paar op mijn hoofd, maar dat ik die niet kon zien door mijn haar. Hij legde uit dat ik te vroeg geboren was, dat ik er veel te vroeg uitgekomen was, en dat ik niet volledig af was; ik was heel, heel ziek. Toen de dokter dit gele kind met zwarte tanden bekeek, keek hij strak naar mijn moeder en zei: Hij zal het niet overleven. Ik verbleef ma
...[+++]andenlang in het ziekenhuis. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
étaient tous assis là même ma mère et mon père ->
Date index: 2025-08-09