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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «écrit ce poème après » (Français → Néerlandais) :
J'ai écrit ce poème après avoir entendu une actrice très connue dire à un journaliste très connu à la télévision, « Je me suis mis à l'Internet, j'aurais tellement préféré que ça soit mieux organisé. » j'aurais tellement préféré que ça soit mieux organisé. » (Rires). Si moi, je contrôlais Internet, vous pourriez mettre aux enchères votre cœur brisé sur eBay,
Ik heb dit gedicht geschreven nadat ik een nogal bekende actrice heb horen zeggen tegen een heel bekende interviewer op TV van: 'Tegenwoordig begin ik mijn draai op internet te vinden, maar ik zou willen dat het beter georganiseerd was.' Dus -- (Gelach) als ik controle over 't internet zou hebben, dan kon je je gebroken hart op eBay aanbieden.
Je crois que Donne a écrit un poème sur ça.
Ik geloof dat Donne daar een gedicht over schreef.
Il y a vingt ans, à une conférence où nous étions allé, Richard et moi, J'ai écrit un poème, qui me paraît être toujours d'actualité pour moi aujourd'hui.
Twintig jaar geleden, op een conferentie waar Richard en ik samen waren, schreef ik een gedicht, dat voor mij nog steeds stand lijkt te houden.
La poète écossaise Denise Riley compare la poésie à une aiguille, un petit morceau de l'extérieur que je chéris à l'intérieur, et le poète américain Terrance Hayes a écrit six poèmes appelés « Du Vent dans une Boîte ». L'un d'entre eux interroge : « Dis-moi, que vais-je faire quand je serai mort ? » Et la réponse est qu'il restera avec nous ou ne restera pas avec nous comme le vent, comme l'air, comme les mots.
De Schotse dichter Denise Riley vergelijkt poëzie met een naald: een flintertje van buiten dat ik vanbinnen beschut. De Amerikaanse dichter Terrance Hayes heeft zes gedichten geschreven die 'Wind in een Doos' heten. In één daarvan wordt gevraagd: Zeg me wat ik na mijn dood ga doen? En het antwoord is dat hij bij ons blijft of in ons blijft , als wind, als lucht, als woorden.
La plus grande, à peu près comme ça, elle vient vers moi et me dit : « Chérie, il faut que je te pose une question. Tu y es pour quelque chose dans tout ce 'Mange, prie, aime' dont on parle tant ? » J'ai répondu : « Oui. » Elle frappe son amie et dit : « Tu vois, je te l'avais dit, c'est ell
e. C'est elle qui a écrit ce livre adapté du film. » (Rires) Voilà qui je suis. Et croyez-moi, je suis très reconnaissante d'être cette personne, parce que tout ce « Mange, prie, aime » a été une vraie chance pour moi. Mais ça m'a aussi laissée dans une position délicate : avancer en tant qu'écrivain en essayant de comprendre comment j'allais pouvoir
...[+++]écrire un autre livre qui plairait autant, parce que je savais déjà que tous ces gens qui avaient adoré « Mange, prie, aime » auraient été incroyablement déçus par tout ce que j'aurais écrit après, parce que ça n'aurait pas été « Mange, prie, aime », et tous ceux qui avaient détesté « Mange, prie, aime » auraient été incroyablement déçus par tout ce que j'aurais écrit après parce que ça aurait prouvé que j'étais encore vivante. Je savais qu'il n'y avait pas moyen de gagner, et le savoir m'a fait sérieusement envisager pendant un certain temps de tout abandonner et déménager à la campagne pour élever des chiens. Mais si je l'avais fait, si j'avais abandonné l'écriture, j'aurais perdu ma très chère vocation. Je savais donc que la tâche était de trouver un moyen de stimuler l'inspiration pour écrire le livre suivant indépendamment des résultats négatifs inévitables. En d'autres termes, il fallait que je m'assure que ma créativité survive à son succès.
De langere van de twee, die tot hier komt, komt op me toe lopen en zegt: Schat, ik wil je wat vragen. Jij bent toch van 'Eten, bidden, beminnen' waar het de laatste tijd over gaat? Ik zeg: Ja, dat ben ik. Ze stoot haar vriendin aan en zegt: Zie je wel, dat i
s die griet. Dat is het meisje dat dat boek schreef gebaseerd op die film. (Gelach) Dus dat ben ik. Geloof me, ik ben ontzettend dankbaar dat ik die persoon ben. Want dat 'Eten, bidden, beminnen'-ding was een grote verandering voor me. Maar het bracht me ook in een lastige positie, om verder te gaan als schrijfster, erachter proberen te komen of ik ooit weer een boek zou schrijven dat
...[+++] iemand mooi zou vinden. Want ik wist van tevoren dat al die mensen die dol waren op 'Eten, bidden, beminnen', erg teleurgesteld zouden zijn in mijn volgende boek. Het werd niet hetzelfde boek. Alle mensen die 'Eten, bidden, beminnen' haatten, zouden ook teleurgesteld zijn in mijn volgende boek, want het zou bewijzen dat ik nog steeds leefde. Ik wist dat ik op geen enkele manier zou winnen. Omdat ik dat wist, overwoog ik heel serieus om er maar mee te stoppen en te verhuizen naar het platteland om corgi's te fokken. Als ik het schrijven had opgegeven, had ik mijn geliefde roeping verloren. Ik moest een manier vinden om inspiratie te krijgen voor een volgend boek, ongeacht een onvermijdelijke negatieve uitkomst. Ik moest ervoor zorgen dat mijn creativiteit haar eigen succes overwon.(Applaudissements) BC : Merci. (Applaudissements) Merci. Et le dernier poème est appelé « Les morts ». Je l'ai écrit après les funérailles d'un ami, mais pas tant au sujet de l'ami que comme quelque chose que le chantre n'arrêtait pas de dire, comme tous les chantres ont tendance à le faire, qui est comme la personne décédée serait heureuse de regarder en bas et de nous voir tous réunis. Et pour moi, c'était un mauvais départ pour l'au-delà, d'avoir à être témoin de son propre enterrement et de se sentir satisfait.
(Applaus) BC: Hartelijk dank. (Applaus) Hartelijk dank. Het laatste gedicht heet De doden . Ik schreef het na de begrafenis van een vriend, niet zozeer over de vriend, als over iets dat de lofredenaar bleef herhalen, zoals dat gaat met lofredenaars: hoe graag de aflijvige zou neerkijken op ons allen hier verzameld. Voor mij was dat geen goed begin van het leven na de dood, om dankbaar getuige te moeten zijn van je eigen begrafenis.
Elle savait qu'il ne lui restait qu'une chose à faire, selon ses propres termes « courir comme une folle ». Elle courait comme une folle v
ers la maison et le poème la poursuivait, il lui fallait absolument trouver du papier et un crayon assez vite pour qu'au passage du poème en elle, elle puisse le prendr
e et le coucher par écrit. D'autres fois elle n'était pas assez rapide, elle courait, courait, courait, mais n'arrivait pas à la maison et le poème la traversait en trombe et elle le manquait et elle disait qu'il continuait son chemin
...[+++], à la recherche, selon ses propres termes, « d'un autre poète ». Et puis, parfois -- cela, je ne l'ai jamais oublié -- elle m'a raconté que parfois, elle le manquait presque.
en wist dat haar op dat moment maar één ding te doen stond: rennen voor haar leven. Ze rende dan naar huis, achtervolgd door het gedicht en ze moest dan zo snel mogelijk pen en papier zien te pakken. Wanneer het gedicht door haar heen kwam golven was dat haar enige kans om het op te schrijven. Soms was ze niet snel genoeg. Dan rende en rende ze, maar bereikt het huis niet. Op zulke momenten schoot het gedicht door haar heen, verdween over de velden, op zoek -- in haar woorden -- naar een andere dichter. Ook waren er wel eens keren -- dit vind ik het mooiste deel van het verhaal -- dat ze het gedicht bijna miste.
Si vous lisiez un poème qui vous émeut pour découvrir ensuite qu'il a été écrit par un ordinateur, l'expérience prendrait-elle un autre sens ? Penseriez-vous que l'ordinateur s'est exprimé et a été créatif ou bien que vous êtes tombé dans un piège grossier ? Dans cette conférence, l'écrivain Oscar Schwartz examine la raison de notre réaction si forte à l'idée d'un ordinateur qui écrit de la poésie — et comment cette réaction nous aide à comprendre la signification de l'humanité.
Als je een gedicht leest en erdoor ontroerd bent, maar vervolgens ontdekt dat het geschreven is door een computer, heeft dat dan invloed op die ontroering? Zou je vinden dat de computer zich creatief had uitgedrukt, of zou je vinden dat je beetgenomen was? Schrijver Oscar Schwartz onderzoekt in deze talk waarom we zo sterk reageren op het idee van een computer die poëzie schrijft — en hoe deze reactie ons helpt begrijpen wat het betekent mens te zijn.
Ensuite, deux mois se transforment en un mois, qui se transforme en deux semaines. Et un jour, je me réveille avec trois jours avant la date limite, en n
'ayant toujours pas écrit un mot. Donc j'ai fait la seule chose que je pouvais : j'ai écrit 90 pages en 72 heures, avec non pas une, mais deux nuits blanches. Les humains ne sont pas faits pour passer deux nuits blanches. J'ai couru à travers le campus, plongé au ralenti, et donné la dissertation juste avant la date limite. J'ai cru que c'était la fin de tout ç
a. Mais une semaine après, j'ai reçu un coup ...[+++]de téléphone de l'université. Et ils disent : « Tim Urban ? » Et j'ai répondu : « Oui. » « Il faut qu'on parle de votre thèse. » « OK. » Et ils disent : « C'est la meilleure que nous ayons jamais vue. » (Rires) (Applaudissements) Ce n'est pas vrai. (Rires) C'était une très, très mauvaise thèse.
Twee maanden werden één maand, en dan twee weken. Op een dag werd ik wakker, drie dagen voor de deadline, en ik had nog
geen woord geschreven. Dus deed ik het enig mogelijke: ik schreef 90 pagina's in 72 uur, ik deed niet één maar twee nachten door -- dat hoort een mens niet te doen -- sprintte de campus over, dook in slow motion en leverde ze net op de valreep in. Ik dacht dat het daarmee afgelopen was. Maar een week later ging de telefoon: het was de school. Zij: Spreek ik met Tim Urban? Ik: Ja . Zij: We moeten het over je thesis hebben. Ik: OK. Zij weer: Het is de beste die we ooit gezien hebben. (Gelach) (Applaus) Zo ging het niet. (
...[+++]Gelach) Het was een erg, erg slechte thesis.J'ai écrit des lois pour les États-Unis -- je veux dire, j'ai écrit des lois sur les marées noires. Si l'on m'avait demandé il y a 20 ans, John, veux-tu vraiment changer les choses? Oui, je veux le faire. On m'aurait dit : Tu commences par marcher vers l'Est, sors de ta voiture et marche vers l'Est. Et, après avoir marché un peu, on m'aurait dit : Et tais-toi, en même temps. (Rires) Tu changeras les choses, mon gars. Comment serait-ce possible ? Comment serait-ce possible ?
Ik schreef reglementen voor de V.S. -- Ik bedoel, reglementen voor de olievervuiling. Als iemand 20 jaar geleden tegen me had gezegd, John, wil jij werkelijk een verschil maken? Ja, ik wil een verschil maken. Begin dan maar met naar het Oosten te lopen, stap uit je auto en loop gewoon de kant van het Oosten op. Terwijl ik begon te lopen: Oh ja, en hou ook gelijk maar je mond dicht. (Gelach) Daar ga jij een verschil mee maken, vriend. Hoe zou dat nou toch kunnen?
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
écrit ce poème après ->
Date index: 2021-01-20